Efficacité de Sulfodyne® pour la prise en charge du syndrome prémenstruel : une nouvelle étude en situation réelle

Efficacité de Sulfodyne® pour la prise en charge du syndrome prémenstruel : une nouvelle étude en situation réelle

Une étude en conditions de vie réelles sur 50 femmes confirme l'efficacité de SULFODYNE®, l’unique et authentique extrait de sulforaphane naturel et actif pour la gestion du syndrome prémenstruel.

Ingood by Olga / BECARRE Natural

Le sulforaphane est un composé bioactif qui suscite un intérêt croissant dans le domaine de la santé en raison de ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Des recherches récentes suggèrent que le sulforaphane pourrait bénéficier à la santé des femmes en particulier.

 

La santé de la femme, un segment en attente de solutions

Selon une étude réalisée par l’Ifop, 1 femme sur 2 souffre de douleurs menstruelles1. Autre chiffre clé, 10 à 20 % des femmes souffrent d'endométriose. Et pourtant, il n'existe pas de réelles solutions sur le marché pour remédier à ces symptômes. Avec 8 compléments alimentaires sur 10 achetés par des femmes en France, le marché de la santé féminine est plus qu'une opportunité, c'est un segment en attente de solutions2.  

La santé des femmes est très vaste et englobe plusieurs symptômes, périodes de la vie ou maladies qui ont longtemps été ignorés par la recherche médicale, comme l'endométriose, le syndrome prémenstruel, la ménopause, etc qui pour la majorité sont liés à un processus inflammatoire incontrôlé. Le rôle du sulforaphane, notamment à travers l'activation du Nrf2, gagne en intérêt dans la gestion de certaines problématiques de santé féminine comme l'endométriose ou le syndrome prémenstruel (SPM).

 

SULFODYNE®, l’unique et authentique actif titré à 5% de sulforaphane stable et actif

Le sulforaphane est un isothiocyanate naturellement présent dans les crucifères comme le brocoli sous sa forme précurseur et inactive, la glucoraphanine. La molécule a été découverte et isolée en 1992 par le professeur Talalay à l’université John Hopkins.

Consommer du brocoli ne permet pas d'assurer un apport efficient en sulforaphane, cela dépend de plusieurs facteurs : la qualité du brocoli, le mode de préparation, les conditions de stockage et surtout, de la capacité d’hydrolyse de la flore intestinale, qui varie d'un individu à l'autre. Pour que le sulforaphane soit libéré et absorbé de manière optimale par l’organisme, sa forme précurseur inactive, appelée glucoraphanine doit être convertie en sa forme active par l’action d’une enzyme, la myrosinase. Cette enzyme est contenue dans le brocoli mais peut également être présente dans la flore intestinale de certaines personnes.

Il existe sur le marché différents extraits de brocoli et la majorité d’entre eux contiennent de la glucoraphanine souvent sous la dénomination trompeuse de « sulforaphane glucosinolate », inactive sous cette forme. Plusieurs études ont montré que la biodisponibilité du sulforaphane, après ingestion de glucoraphanine, est très faible, de l’ordre de 10%. Inversement, l’ingestion du sulforaphane sous sa forme libre permet une biodisponibilité élevée de 70%3.

 

SULFODYNE® est le seul extrait de graines de brocoli qui contient du sulforaphane sous sa forme libre, active et stable et dont le titrage de 5% est le plus élevé du marché mondial. L’étude confirme que SULFODYNE® permet une biodisponibilité du sulforaphane de 70% à l’instar du résultat sur la molécule pure3.

 

Protégé par 2 brevets, SULFODYNE® garantit une biodisponibilité 7 fois supérieure à celle des autres extraits de brocoli contenant de la glucoraphanine. Sous cette forme, le sulforaphane est facilement assimilé et libère donc son potentiel dans l’organisme.

De la myrosinase peut être ajoutée à certain extrait de glucoraphanine afin d’améliorer la biodisponibilité du sulforaphane. Les études montrent que cette biodisponibilité reste de l’ordre de 30%3,4, loin de la biodisponibilité de la forme libre du sulforaphane et du SULFODYNE® (70%)3. La myrosinase est une enzyme sensible qui peut être inactivée lors du processus de digestion. L’utilisation des gélule gastro-résistantes tend à améliorer légèrement la biodisponibilité des extraits contenant de la glucoraphanine et de la myrosinase mais avec une moyenne de l’ordre de seulement 36%3,4.

 

SULFODYNE® contient déjà la molécule de sulforaphane sous sa forme libre et active et ne nécessite pas de conversion par la myrosinase.

Il est également intéressant de noter que la variation inter-individuelle est très faible avec SULFODYNE® comparée aux autres extraits contenant de la glucoraphanine seule ou avec myrosinase.

En réalité, tous les produits ne garantissent pas une concentration suffisante de sulforaphane biodisponible. C’est pourquoi, en partenariat, Becarre Natural et Ingood by Olga souhaitent éduquer et sensibiliser les acteurs du marché à l’importance de choisir la bonne source de sulforaphane, afin d’assurer une biodisponibilité optimale dans le produit fini et d'offrir une efficacité réelle aux consommateurs. En effet, de nombreux consommateurs et professionnels de santé ne connaissent pas encore les différences significatives entre les diverses formes disponibles sur le marché, ce qui les empêche de faire des choix éclairés pour leur santé.

 

Les mécanismes d’actions du sulforaphane

Le sulforaphane est reconnu pour ses propriétés :

  • Antioxydantes : le sulforaphane est un puissant antioxydant indirect. Par l’activation du facteur de transcription Nrf2, il permet d’activer l’expression des enzymes de phase II, impliquées dans le processus de détoxification de l’organisme ainsi que d’activer l’expression des enzymes antioxydantes permettant la réduction du stress oxydatif et la protection cellulaire5,6.
  • Anti-inflammatoires : le sulforaphane permet de réduire et contrôler l’inflammation par l’inhibition du facteur de transcription NF-kB impliqué dans l’expression des médiateurs de l’inflammation7.

Ces deux mécanismes d’action sont à l’origine de différents bénéfices santé à savoir la détox, l’immunité, la santé des articulations mais aussi la santé de la femme.

 

 

Le syndrome prémenstruel, un mal si fréquent et pourtant encore si peu compris

Le syndrome prémenstruel (SPM) se caractérise par un ensemble de symptômes physiques et psychologiques qui apparaissent 1 à 2 semaines avant les règles, s’atténuent avec l’apparition du flux menstruel et sont cycliques et récurrents. Le SPM peut être suffisamment important pour avoir un impact négatif sur la qualité de vie des femmes qui en souffrent.

 

La prévalence du SPM varie selon les études et pays qui utilisent des critères de diagnostic différents. Néanmoins, le SPM semble être très fréquent et toucherait entre 30 et 50 % des femmes8,9,10 en âge de procréer dans le monde.

Les syndromes observés du SPM sont à la fois physiques (sensibilité mammaire, ballonnements, maux de tête, douleur musculaire, etc) et psychologiques (sautes d’humeur, anxiété, irritabilité, dépression, etc).

 

Malgré cette forte prévalence et des recherches approfondies, les causes du SPM ne sont pas encore complétement définies et semblent multifactorielles :

  • Les fluctuations des hormones stéroïdes sexuelles sont sans aucun doute importantes, mais les études n’ont pas identifié de différences significatives dans les niveaux d’estrogène, de progestérone ou d’autres hormones entre les femmes qui ressentent et celles qui ne ressentent pas de symptômes prémenstruels11 ;
  • Des facteurs neuronaux, psychosociaux (stress, dépression et anxiété), la génétique et le mode de vie (consommation d’alcool, tabagisme, manque d’exercice et habitudes alimentaires) sont également susceptibles d’influencer le type et la gravité des symptômes ressentis, mais peu de facteurs contributifs ont été à ce jour clairement établis12,13.

Récemment, un autre mécanisme d'action a été mis en lumière dans le développement du SPM : le stress oxydatif et l'inflammation chronique. Ces facteurs sont désormais considérés comme des éléments probables dans l'apparition du SPM, mais aussi de la prééclampsie et de l'endométriose. En effet, des biomarqueurs liés au stress oxydatif et à l'inflammation ont été observés chez des femmes présentant des symptômes du syndrome prémenstruel.

Notamment, une étude sur les femmes atteintes du SPM a montré une corrélation entre les niveaux élevés de facteurs inflammatoires (IL-2, IL-4, IL-10 et IL-12) et le score total des symptômes du SPM12. D’autres marqueurs comme le TNF-α, la CRP et l'IL-6, sont également élevés chez des femmes présentant un SPM ; ces marqueurs inflammatoires, étant liés à la migraine, un symptôme habituel du SPM12.

Une autre étude a montré que les femmes atteintes du SPM présentaient des concentrations plus élevées de marqueurs de stress oxydatif, comme les ROS. Ces derniers provoqueraient des variations dans les niveaux de certains neurotransmetteurs et pourraient probablement causer des dommages aux cellules neuronales, produisant des changements de comportement (augmentation de l'appétit et obésité) et d'humeur ainsi que la progression des symptômes de dépression et d'anxiété12.

 

Il a été montré que l'inflammation joue un rôle clé dans l'apparition de troubles menstruels tels que la dysménorrhée. Par conséquent, cibler les voies inflammatoires représente une approche prometteuse pour atténuer ou réduire la douleur liée aux menstruations et limiter les conséquences systémiques de l'inflammation, qui englobent les symptômes caractéristiques du « syndrome prémenstruel » 14.

 

 

 

SULFODYNE®, efficace pour la gestion du SPM

Le sulforaphane a des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires bien décrites dans la littérature scientifique via notamment l’activation de Nrf2, permettant la réduction de certains marqueurs du stress oxydatif comme les ROS mais également des paramètres pro-inflammatoires, réduisant et contrôlant l’état inflammatoire de nombreux modèles in vitro et in vivo.

De récentes études ont montré les activités de neuroprotection du sulforaphane. En particulier, des résultats mettent en évidence un effet antidépresseur et anxiolytique du sulforaphane via l’activation de Nrf215,16.

Ces résultats sont cohérents avec les nombreuses études qui ont démontré les effets anxiolytiques et antidépresseurs induits par Nrf2 dans plusieurs paradigmes de stress et dans différents modèles animaux de dépression16.

 

Le sulforaphane a également des effets anti-douleurs et anti-inflammatoires dans plusieurs modèles de douleurs17,18,19. Ces effets sont expliqués par la diminution des marqueurs IL6, IL-1β and TNF-α par le sulforaphane. Ce dernier induit une suppression de DOX2 et d'INOS et une régulation positive de Keap1 et de Nrf2. Le sulforaphane soulage ainsi par exemple la douleur induite par l'endométriose sciatique, qui est médiée par l'inhibition de l'inflammation17.

D’autres résultats mettent en avant cette activité anti-inflammatoire du sulforaphane pour diminuer les douleurs via une inhibition enzymatique de la synthase d'oxyde nitrique (NOS), de la COX-1 et de la COX-2 et des facteurs pro-inflammatoires tels que le facteur de nécrose tumorale (TNF-α) et l'interleukine-1 (IL-1β) par l'inactivation de NF-κB19.

 

De par ces différents éléments, le sulforaphane semble être un bon candidat pour avoir un rôle à jouer dans la modulation des différents symptômes du SPM, en particulier en réduisant l’inflammation via des effets anti-douleurs et anti-inflammatoire tout en apportant des effets anxiolytiques et anti-dépresseurs.

 

Afin d’obtenir une première preuve de concept, Ingood by Olga a mené une étude en conditions de vie réelle avec SULFODYNE® sur 50 femmes volontaires saines et souffrant de SPM. Ce test consommateur a été réalisé de mai à juillet 2024, pendant 3 cycles. Il confirme l'efficacité de SULFODYNE® dans l'amélioration de la qualité de vie et dans la gestion du syndrome prémenstruel (SPM) 20.

 

L’étude a été menée sur 50 femmes âgées de 20 à 40 ans présentant des symptômes prémenstruels, selon la méthode des quotas. L’ingrédient a été testé partout en France.

Pendant 3 cycles, les volontaires ont consommé SULFODYNE® à une dose de 2 x 200mg par jour, sept jours avant leurs règles et les trois premiers jours de règles.

L’étude montre que 82% des femmes qui ont essayé SULFODYNE® déclarent que l’actif répond à leurs attentes pour soulager leurs symptômes liés au syndrome prémenstruel.

Les résultats indiquent une réduction des symptômes physiques et émotionnels liés au syndrome prémenstruel :

  • 84% des femmes constatent une réduction des inconforts liés au SPM
  • Plus de 9 femmes sur 10 constatent une amélioration de leur état émotionnel
  • Plus de 9 femmes sur 10 constatent une diminution de leur douleur
  • Près de 8 femmes sur 10 ont constaté qu'elles prenaient moins d’anti-douleurs lors de la prise de SULFODYNE.

 

 

Ces premiers résultats semblent cohérents avec les éléments déjà établis sur des expériences in vivo de douleurs et de dépression présentés ci-dessus.

SULFODYNE® permet aussi une approche holistique pour la gestion du SPM indiquant que 86% des femmes ont constaté une amélioration de leur qualité de vie avec SULFODYNE®.

 

Les résultats ont démontré une rapidité d’action et d’efficacité  dès le premier cycle menstruel, 94% des femmes trouvant que SULFODYNE® agit rapidement.

 

  • 84% des femmes sont satisfaites de SULFODYNE® pour la gestion du syndrome prémenstruel.
  • Approuvé par les consommateurs : SULFODYNE® est recommandé par plus de 8 femmes sur 10.
  • Une forte intention d'achat : 86% des femmes qui ont essayé SULFODYNE® pourrait l’acheter

 

En conclusion, SULFODYNE® permet la diminution des inconforts liés au SPM en étant aussi bien efficace sur les inconforts émotionnels que physiques.

Il répond aux attentes des consommatrices et contribue à l'amélioration de la qualité de vie dans le cadre des SPM. Le ressenti consommateur étant évalué, l’objectif d’Ingood by Olga est de poursuivre ses explorations et recherches afin d’approfondir la compréhension et d’étudier plus précisément le rôle de SULFODYNE® dans la gestion du SPM notamment les mécanismes d’action.

 

 

  1. Étude Ifop pour Intimina réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 28 avril 2021 auprès d’un échantillon de 1 010 femmes, représentatif de la population féminine française âgée de 15 à 49 ans résidant en France métropolitaine. 
  2. Council for responsible nutrition, consumer survey on dietary supplements, 2018
  3. Fahey et al., 2015. Sulforaphane Bioavailability from Glucoraphanin-Rich Broccoli: Control by Active Endogenous Myrosinase.
  4. Fahey et al., 2019. Bioavailability of Sulforaphane Following Ingestion of Glucoraphanin-Rich Broccoli Sprout and Seed Extracts with Active Myrosinase: A Pilot Study of the Effects of Proton Pump Inhibitor Administration
  5. Romeo et al.,2024 : Multiple Mechanisms of Action of Sulfodyne®, a Natural Antioxidant, against Pathogenic Effects of SARS-CoV-2 Infection.
  6. Boddupalli et al., 2012. Mein JR, Lakkanna S, James DR. Induction of phase 2 antioxidant enzymes by broccoli sulforaphane: perspectives in maintaining the antioxidant activity of vitamins a, C, and e.
  7. Ruhee & Suzuki, 2024. The Immunomodulatory Effects of Sulforaphane in Exercise-Induced Inflammation and Oxidative Stress: A Prospective Nutraceutical. 
  8. Rezende et al., 2022. Prevalence of Premenstrual Syndrome and Associated Factors Among Academics of a University in Midwest Brazil.
  9. Tiranini & Nappi, 2022. Recent advances in understanding/management of premenstrual dysphoric disorder/premenstrual syndrome.
  10. Modzelewski et al., 2024. Premenstrual syndrome: new insights into etiology and review of treatment methods. Front Psychiatry.
  11. Bertone-Johnson, 2016. Chronic Inflammation and Premenstrual Syndrome: A Missing Link Found?
  12. Sultana et al., 2022. A systematic review and meta-analysis of premenstrual syndrome with special emphasis on herbal medicine and nutritional supplements.
  13. Witkos & Hartman-Petrycka, 2021. The Influence of Running and Dancing on the Occurrence and Progression of Premenstrual Disorders.
  14. Azlan et al., 2013. Endometrial inflammasome activation accompanies menstruation and may have implications for systemic inflammatory events of the menstrual cycle.
  15. Martin-de-Saavedra et al., 2013. Nrf2 participates in depressive disorders through an anti-inflammatory mechanism.
  16. Ferreira-Chamorro et al., 2018. Sulforaphane Inhibited the Nociceptive Responses, Anxiety- and Depressive-Like Behaviors Associated With Neuropathic Pain and Improved the Anti-allodynic Effects of Morphine in Mice.
  17. Liu et al., 2020. Anti-nociceptive and anti-inflammatory effects of sulforaphane on sciatic endometriosis in a rat model.
  18. Redondo et al., 2017. Treatment with Sulforaphane Produces Antinociception and Improves Morphine Effects during Inflammatory Pain in Mice.
  19. Guadarrama-Enriquez et al., 2023. Antinociceptive and antiedema effects produced in rats by Brassica oleracea var. italica sprouts involving sulforaphane.
  20. SULFODYNE® real-life study carried out by an independent research institute on 50 women in France in 2024.